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Les Archives du Bulletin de l'ACPPU, 1992-2016

avril 2003

Les droits de scolarité freinent l'accès aux études

Un sondage que l'ACPPU a rendu public ce mois-ci laisse clairement entendre que la population canadienne s'inquiète que la hausse des droits de scolarité empêche des finissants qualifiés du secondaire de poursuivre des études collégiales ou universitaires.

Les universitaires contractuels de l'Algoma University College sont accrédités

Les professeurs à temps partiel et les chargés de cours ont voté à l'unanimité l'adhésion à l'Algoma University College Faculty Association à titre d'unité de négociation distincte.

La Loi sur la sécurité nationale soulève des préoccupations

L'ACPPU s'est jointe à un grand nombre d'organismes qui mettent en doute le projet de loi du gouvernement fédéral, le projet de loi C-17 ou la Loi sur la sécurité publique.

Les réformes fiscales de 2002 qui touchent les particuliers

Le budget du gouvernement fédéral déposé le 10 décembre 2001 a proposé très peu de modifications au régime de l'impôt sur le revenu. Cependant, le 20 décembre 2002, le ministère des Finances a dévoilé un nombre assez important de projets législatifs devant entrer en vigueur pour l'année d'imposition 2002.

La permanence protège la liberté universitaire et la démocratie

Un soir, je dînais en compagnie d'universitaires et de professionnels non universitaires lorsque la conversation a porté sur la permanence. L'opposition à la permanence exprimée par les non-universitaires ne m'a nullement surpris puisque l'idée qu'un groupe jouisse d'une protection particulière suscite toujours du ressentiment. Or, j'ai été pris au dépourvu lorsque quelques-uns des universitaires ont déclaré que la permanence n'avait aucune valeur à leurs yeux puisqu'elle servait simplement à protéger certains de leurs collègues qui, d'après eux, devraient être congédiés en raison de leur incompétence et de leur improductivité. Ils estimaient qu'il était difficile de se départir de ces gens à cause de la permanence. Il semble que nous avons considéré la permanence comme allant de soi et que nous avons perdu de vue son but et sa valeur. La permanence apporte la sécurité d'emploi, certes, mais elle est plus que cela, car elle offre la protection dont les universitaires ont besoin pour jouer le rôle qui leur revient à l'université et dans la société.