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Les Archives du Bulletin de l'ACPPU, 1992-2016

septembre 2007

Un service de garderie pourrait être mis en place à Lethbridge

Le personnel académique de l’Université de Lethbridge s’engage à verser  20 000 $ à la construction d’une garderie. [Photos.com]
Le personnel académique de l’Université de Lethbridge s’engage à verser 20 000 $ à la construction d’une garderie. [Photos.com]
C’est par une majorité écrasante que les membres de l’association du personnel académique de l’Université de Lethbridge (ULFA) ont voté cet été en faveur de la mise en place d’un service de garderie sur le campus.

Le président de l’ULFA, Steve Ferzacca, rapporte qu’en juin dernier les membres de l’association se sont engagés à participer au coût de la construction d’une garderie sous la forme d’un versement unique de 20 000 $ et qu’ils ont accepté de contribuer au remboursement de l’hypothèque selon la formule proposée par l’administration de l’université, à savoir que chaque membre du personnel académique verserait, tous les semestres, une contribution pour aider à couvrir le coût de la garderie.

L’apport de l’ULFA viendra compléter la contribution accordée par les étudiants de l’établissement.
« La participation financière de l’ULFA conjuguée à celle des étudiants représente une étape importante vers la réalisation d’un tel projet sur le campus de Lethbridge », a observé M. Ferzacca. « La réponse de nos membres a été extrêmement positive, et nous en sommes très fiers. »

Un sondage réalisé en 2006 auprès de groupes d’étudiants et d’employés de l’université permet de penser, à la lumière de l’intérêt manifesté par les répondants à la recherche de places de garderie à temps plein, qu’il serait possible de financer toute l’année un service pouvant accueillir de 50 à 100 enfants.

L’ULFA est favorable à la construction d’installations polyvalentes capables d’accueillir 100 enfants, a indiqué M. Ferzacca.

« Nous recommandons la création d’un établissement où 50 places seront attribuées à un programme scolaire de jour et où les 50 autres places seront réparties entre les programmes de garderie avant et après les heures de classe et de haltes-garderies », a-t-il précisé, ajoutant que l’association souhaiterait qu’un certain nombre de places soit réservé chaque année aux nouveaux membres du personnel académique.

M. Ferzacca a bon espoir que le vote favorable des membres de l’association incitera les dirigeants chargés de prendre la décision à mettre ce projet de l’avant et à s’y engager sans réserves.
« Il appartient maintenant à l’administration non seulement de reconnaître la nécessité et la demande évidentes d’un service de garderie sur notre campus, mais aussi de faire en sorte que notre communauté puisse enfin avoir accès à cette ressource indispensable au bien-être collectif. »