mai 2004 " Solutions " de prêts électroniques pour les étudiants Une société de prêt privée courtise l'Université Simon Fraser (SFU) et l'Université de la Colombie-Britannique (UBC) avec un plan controversé : offrir un crédit en ligne rapide aux étudiants, faisant toutefois craindre que ceux-ci ne s'enfoncent dans l'endettement. La hausse des frais de scolarité alourdit la dette Selon une nouvelle étude publiée en avril par Statistique Canada, la hausse des frais de scolarité a provoqué l'alourdissement de la dette des étudiants au cours des dernières années. Nouvelle adjointe de direction L'ACPPU a nommé Cynthia Wagner au poste d'adjointe de direction (communications et information). Cynthia détient un baccalauréat en sciences politiques et en espagnol de l'Université du Nouveau-Brunswick. Avant d'entrer en fonctions à l'ACPPU, elle a travaillé au Conseil canadien pour la coopération internationale. Elle a travaillé auparavant au Nouveau Parti Démocratique, au Conseil canadien d'agrément des services de santé, au Programme du travail international de la Saskatchewan et elle a occupé pendant un an le poste de traductrice espagnol-anglais au ministère du Développement économique du Nouveau-Brunswick. En sa qualité d'adjointe de direction, Cynthia sera éditrice du site web et fournira un soutien administratif au service du Bulletin de l'ACPPU et au service des communications. La population étudiante applaudit au gel des frais de scolarité Les groupes d'étudiantes et d'étudiants du Manitoba et de l'Ontario ont fait l'éloge de leurs gouvernements provinciaux respectifs le mois dernier. La Fondation sollicite des réactions sur son programme de boursesis La Fondation canadienne des bourses d'études du millénaire tient une série de consultations publiques à l'échelle du pays sur l'avenir de son programme de bourses. La sécurité au travail s'obtient au prix de sacrifices Mes deux grands-pères ont immigré en Pennsylvanie dans les années 1890 lorsqu'ils étaient âgés de neuf et dix ans. Leur famille en Italie et en Europe de l'Est les avait envoyé chercher une meilleure vie aux États-Unis. Ils vivaient avec des parents qui travaillaient dans des mines de houille anthraciteuse. Les jeunes travaillaient dans les broyeurs à charbon pour gagner un peu d'argent et aider à leur famille. On les appelait les " breaker boys " ces jeunes garçons qui s'assoyaient à califourchon sur les goulottes qui déversaient le charbon en continu en provenance d'une machine qui dégraissait, concassait et triait le minerai. Les garçons avaient pour tâche de ramasser parmi le flot de charbon la roche, l'ardoise et les autres rejets. Il arrivait très souvent que les " breaker boys " soient emportés par les goulottes et y perdent la vie.1 Lorsqu'ils parvenaient à vivre jusqu'à 14 ans environ, ils étaient affectés au fond de la mine où commençait leur carrière de mineur qui ne prendrait fin qu'à leur retraite ou à leur mort. Très peu d'entre eux prenaient leur retraite.