janvier 2005 Memorial : une enquête démarre L'ACPPU a institué un comité d'enquête indépendant sur les prétendues violations de la liberté académique et les droits des professeurs qui travaillent au département de médecine de l'Université Memorial de Terre-Neuve et dans ses établissements de soins affiliés. L'ACPPU est à la recherche de directeurs généraux adjoints L'ACPPU a créé deux nouveaux postes de directeur général adjoint. Le premier poste, pour lequel les candidatures sont sollicitées, commencera le 1er juillet 2005. Le second sera annoncé en 2006. L'ACPPU nomme un conseiller en négociation collective Pierre Ouellet est entré en fonctions à l'ACPPU en janvier à titre de conseiller en négociation collective. Il occupe le poste de politicologue à l'Université Concordia depuis 1992 où il a acquis également plus de dix ans d'expérience auprès de l'Association des professeurs à temps partiel de l'Université Concordia (CUPFA). Pierre fait fonction d'agent des griefs depuis 1994 et de vice-président externe de la CUPFA depuis 1997. En plus de ses compétences académiques, il détient un certificat en relations industrielles de l'Université Queen's. Il a été commentateur pour CJAD Radio-Montréal et CBC Radio. Comité des finances : un fonds distinct pour l'enseignement postsecondaire Le Comité des finances de la Chambre des communes recommande que le gouvernement fédéral établisse une enveloppe budgétaire distincte pour l'enseignement postsecondaire. L'AGCS menace le secteur de l'éducation Sofian Effendi ne s'identifie pas facilement avec le mouvement antimondialisation. Néanmoins, à titre de recteur de l'Université Gadjah Mada en Indonésie, il dirige une campagne contre les projets de libéralisation du secteur de l'enseignement de son pays dans le contexte de la ronde actuelle de négociations de l'Organisation mondiale du commerce. Un signe d'espoir à l'horizon : une nouvelle vision politique S'il est maintenant largement admis qu'un enseignement postsecondaire abordable, accessible et de qualité supérieure est essentiel au développement des nations, il n'en demeure pas moins que les gouvernements au Canada tardent à placer les universités et les collèges au rang des priorités. Au lieu d'une approche coordonnée entre Ottawa et les provinces, nous nous retrouvons en présence d'une mosaïque de programmes et de mesures disparates qui n'ont pas réussi jusqu'ici à s'attaquer aux vrais problèmes des étudiants, du personnel et de nos établissements. Certains signes donnent cependant à penser que ces problèmes deviennent trop évidents pour que l'on continue à les ignorer.