mai 2010 Menace de blâme L'ACPPU pourrait imposer un blâme aux directions de l’Université du Manitoba et de l’Office régional de la santé de Winnipeg en novembre prochain si celles-ci ne consentent pas à rétablir le Dr Larry Reynolds dans ses fonctions. Le travail académique n’a rien de précaire Il est de pratique courante, dans le milieu académique, d’établir une distinction nette et tranchée entre le travail à temps plein et celui à temps partiel. Or, à son assemblée du mois dernier, le Conseil de l’ACPPU a reçu une motion qui nous met au défi de repenser cette nomenclature. Soumise par la section locale 3902 du SCFP à l’Université de Toronto, cette motion appelle l’ACPPU à remplacer dans ses politiques, clauses modèles et communications les termes « à temps partiel » et « à temps plein » par les termes « permanent » et « contractuel » pour désigner le personnel académique. McMaster : les bibliothécaires adhèrent à l’ACPPU L'ACPPU compte une association. de plus dans ses rangs. Lors de l’assemblée du Conseil qui s’est tenue le mois dernier, les délégués ont en effet approuvé la demande d’adhésion de l’association des bibliothécaires de l’Université McMaster. Le Prix d’excellence académique de l’ACPPU remis à Barry Grant Barry Grant, professeur d’études cinématographiques à l’Université Brock, est le lauréat 2010 du prix de l’ACPPU qui récompense l’excellence d’une personne dans les trois domaines de la vie académique, à savoir l’enseignement, les réalisations savantes et les activités de service qui dépassent le cadre du campus. Sondage : les Canadiens estiment l’éducation supérieure importante Selon un nouveau sondage, près de huit Canadiens sur dix estiment plus important que jamais d’acquérir une éducation postsecondaire et la majeure partie de la population canadienne s’inquiète du coût de plus en plus élevé des études à ce niveau. Levée du blâme contre l’Université des Premières Nations Les délégués au congrès national de l’ACPPU qui s’est tenu le mois dernier à Ottawa ont voté à l’unanimité pour la levée de la sanction de blâme contre l’Université des Premières nations du Canada (UPNC).