Là-propos des lignes directrices du Canada pour le traitement éthique des sujets humains fera l'objet d'un nouvel examen. Santé Canada, le Conseil national d'éthique en recherche chez l'humain et le Groupe consultatif interagences en éthique de la recherche, créé récemment, ont tous pris les mesures nécessaires pour se pencher sur les critiques et les préoccupations liés à cette question.
" Le sens de ce projet n'est pas encore clair ", a confié le directeur général de l'ACPPU, James Turk. " Des pressions importantes s'exercent toutefois pour renforcer l'Énoncé de politiques des trois conseils : Éthique de la recherche avec des êtres humains, la politique en vigueur au Canada ".
Pour aider l'ACPPU à jouer un rôle de chef de file dans ces discussions, un groupe consultatif en éthique de la recherche de 10 membres a été mis sur pied.
Le groupe se compose des membres suivants : John Baker, philosophie, Université de Calgary, Patricia Baker, sociologie, anthropologie et études féminines, Université Mount Saint Vincent, Jocelyn Downie, directrice, Health Law Institute, Université Dalhousie, Michael McDonald, directeur, UBC Centre for Applied Ethics, Pat O'Neill, directeur intérimaire, psychologie, Université Acadia, Barrie Ratcliffe (à la retraite), histoire, Université Laval, David Reid, directeur, sciences biologiques, Université de Calgary, Sandra Taylor, directrice, Office of Bioethics, Université Queen's, Jon Thompson, directeur, mathématique et statistique, Université du Nouveau-Brunswick, et Charles Weijer, bioéthique, Université Dalhousie.