Rhonda Love et Len Findlay sont chargés d'enquêter sur les allégations portées contre l'Université d'Ottawa
L'ACPPU a confié à un comité le mandat d’enquêter sur le traitement prétendu injuste réservé à un membre du personnel enseignant clinicien du département de médecine familiale de l’Université d’Ottawa.
Rhonda Love, professeure agrégée de sciences de la santé publique à l’Université de Toronto, et Len Findlay, professeur d’anglais à l’Université de la Saskatchewan, ont été chargés d’examiner les circonstances et motifs de la résiliation du contrat de travail de la Dre Carmel Martin; l’annulation de sa participation comme experte principale, co-experte principale et co-experte à plusieurs projets de recherche dans lesquels elle jouait un rôle de premier plan; les questions concernant ses droits d’auteur sur les oeuvres créées dans le cadre de ces projets; les restrictions ultérieures apportées à son droit de communiquer avec ses collègues du Centre de recherche C.T. Lamont en soins de santé primaires et de l’Institut de recherche Élisabeth-Bruyère, tous deux situés à Ottawa; et les allégations d’inconduite en recherche portées par la Dre Carmel Martin contre d’anciens collègues.
Mme Love est l’ancienne présidente du comité de la liberté académique et de la permanence de l’emploi de l’ACPPU, et M. Findlay y siège comme membre à l’heure actuelle. Les deux enquêteurs soumettront leur rapport final à l’ACPPU.
« Conformément à ses lignes de conduite, l’ACPPU cherchera ensuite à régler toutes les questions encore en litige entre les parties », a fait savoir le directeur général de l’ACPPU, James Turk.
Ce dernier a dit espérer que le comité pourra terminer son enquête dans les prochains mois.