Raymond Cox, président de l’association des professeures et professeurs de l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario, a pris place au sein de la 65e assemblée du Conseil de l’ACPPU en novembre, marquant le début de l’adhésion.
À son assemblée de novembre, le Conseil de l’ACPPU a approuvé, par un vote unanime, l’adhésion des membres à temps plein du corps professoral représentés par l’association des professeures et professeurs de l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario (UOITFA).
Créée le 31 juillet 2007 et reconnue volontairement par l’administration de l’université comme agent négociateur exclusif des professeurs à plein temps titulaires d’un poste permanent ou menant à la permanence, l’UOITFA avait demandé d’adhérer à l’ACPPU en mai dernier. Cinquante-sept universitaires font actuellement partie de l’unité de négociation et 39 autres sont admissibles comme membres de l’unité.
« Nous sommes très heureux d’accueillir notre 69e association membre », a dit la présidente de l’ACPPU, Penni Stewart. « Même si cette association est relativement nouvelle, ses objectifs et ses actes constitutifs sont tout à fait en phase avec ceux des autres membres de l’ACPPU. »
Fondé en 2003 et fort de 5 500 étudiants, l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario est le premier établissement postsecondaire de la province où la formation est axée sur l’ordinateur portable. Il a récemment été classé parmi les 50 meilleures universités de recherche au pays par Research Infosource Inc., un chef de file canadien en matière de diffusion de renseignements sur la recherche dans les domaines des affaires et de l’éducation supérieure.
Deux autres associations — l’Alberta Colleges and Institutes Faculties Association et le syndicat des chargé(e)s de cours de l’Université de Toronto (SCFP 3902, unité 3) — ont aussi joint les rangs de l’ACPPU plus tôt cette année.