Une récente étude du Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur dresse un portrait plus rose des débouchés professionnels offerts aux détenteurs de doctorats.
Selon la recherche, le tiers de ceux qui décrochent un doctorat d’une université ontarienne se trouvent un poste de professeur menant à la permanence dans une université et, pour la moitié d’entre eux, ce poste est au Canada.
Cette étude vient contredire les résultats d’une recherche publiée cet automne par le Conference Board du Canada et qui avait établi la barre à un finissant sur cinq.