Back to top

Les Archives du Bulletin de l'ACPPU, 1992-2016

avril 2005

L'ACPPU demande à McMaster de faire marche arrière

L'ACPPU a demandé à l'Université McMaster d'abolir la politique de cet établissement qui menace la liberté académique. En effet, adoptée par le sénat de McMaster en 2003, cette politique interdit aux membres du corps universitaire de faire mention de leur affiliation à l'Université McMaster lorsqu'ils expriment devant les médias une opinion qui échappe à leurs compétences universitaires ou à leurs domaines de spécialisation.

L'Alberta place l'éducation en priorité

Après des années de compressions budgétaires, le gouvernement de l'Alberta compte investir plus de 3 milliards de dollars dans le secteur de l'éducation postsecondaire en vue de faire des Albertains les citoyens les plus instruits au pays.

L'ACPPU contribue aux pressions de l'EI exercées auprès de l'OMC

Le Canada demeure l'un des quelques pays développés qui ont réfusé à ce jour de négocier les services d'éducation à l'AGCS.

Les professeures réalisent des gains, mais il y a encore beaucoup à faire

Selon une étude publiée en février par Statistique Canada, les professeures ont réalisé des gains considérables en comblant depuis dix ans le fossé des sexes dans les universités canadiennes, mais il reste encore beaucoup à faire.

Budget de 2005 - Modifications annoncées

Le budget du gouvernement féderal déposé le 23 février 2005 propose des modifications profondes au régime de l'impôt sur le revenu. Les modifications les plus notables sont sans doute les suivantes :

York : un comité de l'ACPPU enquête sur certaines allégations

À la demande de l'Association des professeurs de l'Université York, l'ACPPU a nommé un comité spécial d'enquête chargé d'examiner de présumées menaces à la liberté d'expression et à la liberté académique ainsi que de présumées pratiques de gouvernance illégitimes au sein de l'université.

Non au contrôle des commanditaires

L'ACPPU a lancé, à la fin de 2004, une campagne en faveur de la liberté de publier fondée sur la nécessité de protéger la liberté académique de publier et de divulguer des renseignements sur les risques. Cette protection ne saurait être assurée sans que les associations de personnel académique négocient le langage approprié dans leurs conventions collectives et que les sénats adoptent des politiques interdisant d'accepter des fonds des commanditaires qui tiennent absolument à limiter le droit de publier les résultats de recherche.