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Équité

De nombreux professeurs sont victimes de discrimination et de harcèlement au travail. Les femmes, les Autochtones ainsi que les membres des minorités visibles et ethniques sont sous-représentés, en particulier dans les grades les plus élevés. Les membres du personnel académique ayant un handicap sont en butte à d’important obstacles. L'ACPPU s'oppose à la discrimination, sans compter qu'elle est déterminée à assurer l'équité pour les groupes marginalisés. Nous nous efforçons de façon active afin de nous assurer que tous les professeurs et professeures bénéficient d'un même traitement tant au travail qu'à l'extérieur. Nous luttons pour qu'on ajoute des dispositions en matière d'équité dans les conventions collectives et nous préconisons des politiques et des pratiques visant à mettre fin à la discrimination systémique.

Vous souhaitez vous engager dans la promotion de l’équité sur les campus?

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Les réseaux sont accessibles à tous les membres du personnel académique désireux de militer pour l’équité et d’échanger des informations avec les autres membres et avec les comités de l’équité et de la direction de l’ACPPU. Chaque réseau communiquera et se réunira par voie électronique et sera animé par les membres du Comité de l’équité.

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Actualités

Déclaration de l’ACPPU pour la Journée internationale de la femme 2015

La Journée internationale de la femme est l’occasion toute désignée pour célébrer les progrès réalisés en vue d’assurer un traitement juste et équitable aux femmes au Canada comme dans le reste du monde, et aussi pour s’engager à lutter contre les inégalités et les injustices qui persistent.

Dans les universités et collèges du Canada, les femmes demeurent confrontées au harcèlement et à la violence. Les femmes, et particulièrement les femmes autochtones et de minorités raciales, continuent d’être sous-représentées parmi les universitaires des rangs les plus élevés et dans certaines disciplines, et elles sont plus susceptibles d’occuper des emplois précaires.

Dans le même temps, les coupes dans les programmes de recherche affaiblissent notre capacité à élaborer des politiques avisées fondées sur des données probantes qui défendent les droits des femmes. Le budget de Condition féminine Canada a été amputé de 40 %, éliminant ainsi les fonds destinés aux groupes de femmes voués à la recherche, à la défense des intérêts et aux activités de lobbying. L’annulation du questionnaire détaillé du recensement et les compressions budgétaires à Statistique Canada rendent encore plus difficile la possibilité de dresser avec exactitude le portrait de l’inégalité entre les genres. L’élimination de l’Enquête sur la participation et les limitations d’activités a sérieusement compromis notre capacité collective à saisir la réalité à laquelle sont confrontées les femmes ayant une incapacité.

Par ailleurs, l’ACPPU s’associe à d’autres organisations pour demander instamment la mise en œuvre immédiate de mesures en faveur de l’égalité et de la justice pour les femmes autochtones. Nous réclamons la tenue d’une enquête nationale sur les femmes autochtones disparues ou assassinées – un problème systémique dont le gouvernement a jusqu’ici refusé de reconnaître les dimensions sociologiques.

En cette Journée internationale de la femme, l’ACPPU et ses membres sont fiers de célébrer les réalisations accomplies et restent fermes dans leur engagement à promouvoir l’égalité et la justice pour toutes les femmes.

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